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Pleins feux sur nos nouveaux professeurs : Joshua Aaron Sonnen

​​​​​​​« Je suis curieux de nature, mais ce qui me pousse vraiment à me lever chaque matin, c’est de savoir que ces connaissances aideront des gens qui se battent contre de terribles maladies. »

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Le Dr Joshua Sonnen est un neuropathologiste qui s’intéresse aux troubles neurodégénératifs associés au vieillissement, dont la maladie d’Alzheimer, la démence à corps de Lewy, la maladie de Parkinson, les lésions vasculaires cérébrales, les traumatismes crâniens et l’encéphalopathie traumatique chronique, la maladie des motoneurones et la démence frontotemporale.

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Qu’est-ce qui vous a amené au Neuro?

J’avais déjà travaillé en neuropathologie au centre de recherche sur la maladie d’Alzheimer de l’Université de Washington, à Seattle. C’est pour cette raison, ainsi que pour ma contribution à d’autres travaux dans le domaine, que j’ai été recruté pour étudier le cerveau de personnes traitées au Québec pour des troubles neurodégénératifs associés au vieillissement comme la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, la SLA et la démence.

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Parlez-nous un peu de votre travail. Quelles sont vos aspirations?

Le but de mon travail est de comprendre ce qui se passe dans le cerveau des personnes atteintes de troubles complexes, toujours incurables.

Je travaille actuellement sur un système d’examen cérébral normalisé ultramoderne de grande qualité, grâce auquel les données du Neuro pourront être utilisées non seulement ici, mais aussi ailleurs dans le monde. L’objectif ultime est d’utiliser ces connaissances pour aider concrètement les patients en découvrant comment prévenir, traiter et guérir les maladies.

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Que signifie la science ouverte pour vous?

Lorsqu’une personne décide de donner son cerveau à la recherche, elle ne le donne pas à un médecin ou à une université en particulier, mais plutôt à la science.

C’est un cadeau dont il faut prendre grand soin et qu’il faut utiliser le mieux possible. C’est lorsque nous partageons nos données avec d’autres chercheurs que nos études ont la plus grande portée; la science ouverte nous donne les moyens de le faire de façon réfléchie et responsable.

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Qu’est-ce qui vous motive dans votre travail?

J’ai toujours été fasciné par le cerveau; selon moi, il est la source des questions scientifiques les plus intéressantes. J’ai touché au domaine des maladies neurodégénératives tôt dans ma formation, à l’Université du Sud de la Californie. Plus tard, durant ma surspécialisation en neuropathologie à l’Université de Washington, j’ai découvert que je pouvais faire avancer les connaissances sur les maladies cérébrales de façon pertinente sur le plan clinique.

Je suis curieux de nature, mais ce qui me pousse vraiment à me lever chaque matin, c’est de savoir que ces connaissances aideront des gens qui se battent contre de terribles maladies.

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Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans l’équipe de neuropathologie du Neuro?

J’adore faire partie d’une équipe où la collaboration est très présente, où chaque membre fait profiter le groupe de son expertise pour des résultats optimaux.

La science et la médecine sont si vastes que personne ne peut devenir expert de toutes leurs branches. C’est excitant de faire partie d’une équipe formée non seulement de mes collègues en neuropathologie, mais aussi de l’ensemble du Neuro!

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Le NeuroÌýÂ鶹Çø

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Le Neuro (L'Institut-Hôpital neurologiqueÌýde Montréal) - un institut de recherche et d’enseignement bilingue de Â鶹Çø, qui offre des soins de haut calibre aux patients - est la pierre angulaire de la Mission en neurosciences du Centre universitaire de santé Â鶹Çø. Nous sommes fiers d’être une institution Killam, soutenue par les fiducies Killam.

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