Experts : Temps des FĂŞtes 2023Ěý
Achat de sapinĚý´ĄĚýAddictions et abus de substancesĚý´ĄĚýCuisiner en toute sĂ©curitĂ© ´ĄĚýDonner au prochainĚý´ĄĚýExercice et activitĂ© physiqueĚý´ĄĚýLa science de la musique des fĂŞtesĚý´ĄĚýMagasinage des FĂŞtesĚý´ĄĚýReligion et spiritualitĂ©Ěý´ĄĚýRĂ©solutions et objectifs du Nouvel AnĚý| Rester en sĂ©curitĂ© et en bonne santĂ©Ěý´ĄĚýSantĂ© mentaleĚý´ĄĚýVoyager durant les FĂŞtesĚý
Le Service des relations avec les mĂ©dias de l'UniversitĂ© Â鶹Çř vous suggère les sources suivantes pour vos histoires des FĂŞtes :Ěý
Achat de sapinĚý
Pierre Dutilleul, professeur titulaire, DĂ©partement des sciences vĂ©gĂ©talesĚý
« Lors d'une promenade hivernale dans les bois, vous ĂŞtes-vous dĂ©jĂ demandĂ© pourquoi les branches des arbres de NoĂ«l et autres conifères poussent d’une certaine façon ? Certains de ces arbres sont joufflus et courts, et d'autres sont grands et maigres. En utilisant un scanner comme ceux utilisĂ©s dans les hĂ´pitaux et un nouveau modèle statistique, mon Ă©quipe de chercheurs a pu expliquer pourquoi les branches des arbres les plus jeunes poussent d'une certaine manière en se basant sur les modèles de croissance des branches plus anciennes. Ă€ toutes les saisons de l'annĂ©e, nos yeux ne peuvent pas voir la tige et les branches directement reliĂ©es d'un arbre de NoĂ«l -– un scanner nous donne accès Ă ce monde cachĂ©. Les donnĂ©es et les images du scanner permettent Ă©galement d'effectuer des mesures numĂ©riques qui seraient pratiquement impossibles Ă rĂ©aliser autrement. Par exemple, la distance entre les branches descendantes d'une mĂŞme branche parentale, ou l'angle formĂ© par une branche descendante par rapport Ă sa branche parentale. Fait intĂ©ressant, nous avons constatĂ© que les branches du quatrième niveau suivaient un schĂ©ma de croissance dĂ©terminĂ© en grande partie par les schĂ©mas de ramification des branches du deuxième niveau, et non, comme nous le pensions, du troisième. »Ěý
Pierre Dutilleul est professeur titulaire au DĂ©partement des sciences vĂ©gĂ©tales. Statisticien s’intĂ©ressant aux arbres, ses rĂ©centes recherches portent sur de la manière dont les schĂ©mas de ramification affectent l'efficacitĂ© de la collecte de la lumière chez les plantes peut amĂ©liorer notre comprĂ©hension de la photosynthèse et, par extension, de la production alimentaire et de l'environnement.Ěý
pierre.dutilleul [at] mcgill.ca (anglais, français)Ěý
David Wees, chargĂ© d’enseignement, DĂ©partement des sciences vĂ©gĂ©talesĚý
« Les sapins naturels sont plus jolis, dĂ©gagent une meilleure odeur et reprĂ©sentent souvent un choix plus Ă©cologique que les sapins artificiels (qui sont souvent fabriquĂ©s Ă partir de combustibles fossiles). Toutefois, si l’idĂ©e d’abattre un arbre pour quelques semaines de dĂ©coration ne vous rĂ©jouit pas, songez Ă utiliser des branches de sapin ou d’épicĂ©a au lieu d’un arbre entier. Vous pouvez aussi adopter une approche plus originale en dĂ©corant une plante verte en pot, comme un arbre de jade ou un pin de Norfolk : ces plantes durent beaucoup plus longtemps que les arbres coupĂ©s et sont toutes aussi vertes. »Ěý
David Wees est chargĂ© d’enseignement au DĂ©partement des sciences vĂ©gĂ©tales et directeur adjoint du Programme de gestion et technologies d’entreprise agricole. Il donne des cours sur tous les aspects de l’horticulture, comme la production de lĂ©gumes, la production de fruits, les serres, l’horticulture urbaine et l’amĂ©nagement paysager.Ěý
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david.wees [at] mcgill.ca (anglais, français)Ěý
Addictions et abus de substancesĚý
Rachel Rabin, professeure adjointe, DĂ©partement de psychiatrieĚý
« Alors que la pĂ©riode des FĂŞtes est une occasion joyeuse pour certains, les mois de dĂ©cembre et janvier peuvent apporter du stress, de l'anxiĂ©tĂ©, la dĂ©pression et la fatigue pour d'autres. ĂŠtre attentif, prendre conscience des facteurs dĂ©clenchants de la consommation de substances, rester en contact avec les rĂ©seaux de soutien et demander de l'aide sont des stratĂ©gies qui peuvent aider les personnes Ă faire face Ă une consommation abusive de substances en ces temps difficiles. »Ěý
Rachel Rabin est professeure adjointe au DĂ©partement de psychiatrie et chercheuse au Centre de recherche Douglas. Son programme de recherche vise Ă mieux comprendre les corrĂ©lats cliniques, cognitifs et neuronaux de la consommation problĂ©matique de substances et des troubles de la dĂ©pendance.Ěý
rachel.rabin [at] mcgill.ca (anglais)Ěý
Cuisiner en toute sĂ©curitĂ©Ěý
Joe Schwarcz, professeur, DĂ©partement de chimieĚý
« La cuisson au gaz Ă l'intĂ©rieur suscite des inquiĂ©tudes, en particulier si des enfants asthmatiques vivent dans la maison. Le problème, ce sont les oxydes d'azote qui se dĂ©gagent. »Ěý
Joe Schwarcz est professeur au DĂ©partement de chimie et directeur de l’Organisation pour la science et la sociĂ©tĂ© (OSS). Ses domaines d'expertise comprennent la chimie alimentaire et le lien entre le corps et l'esprit.Ěý
joe.schwarcz [at] mcgill.ca (anglais)Ěý
Donner au prochainĚý
, professeur titulaire, DĂ©partement de psychiatrieĚý
« Au QuĂ©bec, le nombre de personnes en situation d’itinĂ©rance ne fait qu’augmenter. La hausse des loyers et l’inflation sont notamment en cause. Le programme Logement d’abord, dans lequel les subventions locatives sont combinĂ©es Ă des services de soutien psychosocial, est un Ă©lĂ©ment clĂ© de la solution. Chaque jour, nous utilisons l’argent des contribuables pour financer notre système de santĂ© et de services sociaux, souvent pour des prestations dont la portĂ©e est moindre que l’aide que nous pouvons offrir aux personnes ayant besoin de retrouver l’accès au logement et Ă la dignitĂ©. »Ěý
Eric Latimer est professeur titulaire au DĂ©partement de psychiatrie et chercheur au Centre de recherche Douglas. Économiste de la santĂ©, il s’intĂ©resse aux aides communautaires offertes aux personnes souffrant de troubles mentaux graves, le plus souvent en rapport avec leur situation Ă©conomique.Ěý
eric.latimer [at] mcgill.ca (anglais, français)Ěý
Jayne Malenfant, professeur adjoint, DĂ©partement d'Ă©tudes intĂ©grĂ©es en Ă©ducationĚý
« Ă€ l'approche des fĂŞtes de fin d'annĂ©e, de nombreuses personnes rĂ©flĂ©chissent Ă la meilleure façon de soutenir les membres les plus prĂ©caires de nos communautĂ©s, notamment en faisant du bĂ©nĂ©volat dans des refuges, des banques alimentaires et des organisations communautaires. S'il est important de rĂ©pondre aux besoins immĂ©diats des personnes sans domicile, victimes de violences sexistes ou d'autres formes de prĂ©caritĂ©, les modèles de rĂ©solution des problèmes sociaux fondĂ©s sur la charitĂ© sont de plus en plus critiquĂ©s, et l'on insiste de plus en plus sur la nĂ©cessitĂ© de travailler sur les problèmes "en amont" du sans-abrisme, par exemple en travaillant avec les jeunes dans les Ă©coles avant qu'ils ne se retrouvent dans les refuges ou dans la rue. Comment pouvons-nous contribuer au travail urgent des organisations communautaires, des refuges et des ressources aujourd'hui et tout au long de l'annĂ©e, tout en pensant Ă agir ensemble pour s'assurer que les gens n'aient jamais Ă faire face au sans-abrisme en premier lieu? »Ěý
Jayne Malenfant est professeur(e) adjoint(e) au DĂ©partement d’études intĂ©grĂ©es en Ă©ducation. Ses recherches portent sur la mesure de l'impact dans la sphère Ă but non lucratif, les expĂ©riences institutionnelles des jeunes et des adultes en situation de sans-abrisme, et les expĂ©riences des communautĂ©s bispirituelles, trans et non binaires en situation de prĂ©caritĂ© de logement.Ěý
jayne.malenfant [at] mcgill.ca (anglais, français)Ěý
Exercice et activitĂ© physiqueĚý
Steven Grover, professeur titulaire, DĂ©partement de mĂ©decine, Division de mĂ©decine interneĚý
« Pour de nombreux Canadiens, le temps des FĂŞtes sera associĂ© Ă des dĂ©fis en matière de santĂ© physique et mentale, particulièrement pendant que nous nous remettons de la pandĂ©mie. Compte tenu des avantages avĂ©rĂ©s de l'exercice rĂ©gulier pour amĂ©liorer la gestion de la douleur chronique, du stress, de l'anxiĂ©tĂ©, de la dĂ©pression et de l'insomnie, il n'y a pas de meilleure stratĂ©gie de style de vie pour aider les Canadiens Ă optimiser leur santĂ© et leur bonheur au cours des prochains mois. »Ěý
Steven Grover est professeur titulaire au DĂ©partement de mĂ©decine et chercheur principal Ă l'Institut de recherche du Centre universitaire de santĂ© Â鶹Çř (IR-CUSM). Ses recherches portent sur l'importance de l'exercice physique, d'une alimentation saine et d'autres interventions liĂ©es au mode de vie pour amĂ©liorer la santĂ©, ainsi que sur les interventions digitales et de santĂ© en ligne utilisant des plateformes en ligne.Ěý
steven.grover [at] mcgill.ca (anglais, français)Ěý
La science de la musique des fĂŞtesĚý
Daniel Levitin, professeur titulaire, DĂ©partement de psychologieĚý
« Les recherches ont montrĂ© que la plupart des habitants des pays occidentaux utilisent la musique pour s'apaiser. Ils savent que certains types de musique les mettent de bonne humeur. La musique de NoĂ«l est une musique fiable pour beaucoup de gens. »Ěý
Daniel Levitin est professeur Ă©mĂ©rite de psychologie et de musique James Â鶹Çř et directeur du laboratoire de perception musicale, de cognition et d'expertise. Il est un neuroscientifique primĂ©, ainsi qu'un leader mondial de la recherche sur la musique, le cerveau et le rĂ´le de la musique dans l'humeur, la mĂ©moire, le vieillissement, la mĂ©decine et la santĂ© en gĂ©nĂ©ral. Levitin est un musicien, producteur de disques et compositeur qui a travaillĂ© avec Sting, Joni Mitchell, Stevie Wonder et bien d'autres.Ěý
daniel.levitin [at] mcgill.ca (anglais)Ěý
Magasinage des FĂŞtesĚý
Moshe Lander, chargĂ© de cours, DĂ©partement d'Ă©conomieĚý
«L'inflation a rognĂ© le pouvoir d'achat de nombreux Canadiens, car les salaires n'ont pas suivi. Alors que les Canadiens luttent pour payer les coĂ»ts plus Ă©levĂ©s de la nourriture, du loyer et des prix de l'Ă©nergie, les Ă©conomies doivent provenir des dĂ©penses discrĂ©tionnaires et la pĂ©riode des vacances est l'endroit le plus naturel pour rĂ©duire les dĂ©penses. Alors que les Canadiens peuvent ĂŞtre en colère et pointer du doigt la banque centrale et le gouvernement fĂ©dĂ©ral pour avoir causĂ© cette situation, la rĂ©alitĂ© est que les Canadiens devraient se pointer du doigt pour avoir vĂ©cu trop longtemps avec des taux d'intĂ©rĂŞt historiquement bas, des niveaux d'endettement historiquement Ă©levĂ©s et un refus d'Ă©couter les personnalitĂ©s publiques qui avertissaient les Canadiens que leur comportement Ă©tait dangereusement instable et qu'il finirait inĂ©vitablement mal. »Ěý
Moshe Lander est chargĂ© de cours au DĂ©partement d'Ă©conomie. Ses domaines d'expertise sont les affaires, la politique, les politiques, le commerce, l'inflation et le chĂ´mage.ĚýĚý
moshe.lander [at] mcgill.ca (anglais)Ěý
łŐľ±±ą±đ°ě A˛őłŮ±ą˛ą˛Ô˛őłó, professeur agrĂ©gĂ©, FacultĂ© de gestion DesautelsĚý
« Les taux d’inflation et de chĂ´mage sont maĂ®trisĂ©s, ce qui motive les consommateurs Ă dĂ©penser. De plus, les dĂ©taillants ne sont ni en pĂ©nurie (comme en pleine pandĂ©mie) ni en excès (comme l’annĂ©e dernière) d’inventaire, ce qui indique, on l’espère, qu’ils sont mieux prĂ©parĂ©s Ă rĂ©aliser des ventes. Ces deux facteurs laissent prĂ©sager une pĂ©riode des fĂŞtes prometteuse, tant pour les consommateurs que pour les dĂ©taillants. Cela dit, j’aimerais rappeler trois choses aux consommateurs. D’abord, les offres du Vendredi fou ne sont pas forcĂ©ment avantageuses. De plus, ne tombez pas dans le piège des emprunts du style “payez maintenant, remboursez plus tard”. Finalement, ne perdez pas de vue le prix total de vos achats, ce qui inclut les taxes, les frais d’expĂ©dition, et dans certains cas, les assurances. »Ěý
łŐľ±±ą±đ°ě A˛őłŮ±ą˛ą˛Ô˛őłó est professeur agrĂ©gĂ© de marketing et d’analytique Ă la FacultĂ© de gestion Desautels. Ses recherches visent Ă guider les consommateurs Ă adopter des pratiques d’achat avantageuses et Ă attĂ©nuer les coĂ»ts dĂ©coulant de leur utilisation de la technologie.Ěý
vivek.astvansh [at] mcgill.ca (anglais)Ěý
Religion et spiritualitĂ©Ěý
¸é´Ç˛ú±đ°ůłŮ Włóľ±łŮ±ô±đ˛â, professeur agrĂ©gĂ©, DĂ©partement de psychiatrieĚý
« Des Ă©tudes ont montrĂ© qu’un niveau Ă©levĂ© de croyance et de pratique religieuses (qu’on appelle aussi “religiositĂ©" en sciences humaines) se traduit par une meilleure santĂ© mentale. En effet, les recherches semblent indiquer qu’une plus grande religiositĂ© pourrait rĂ©duire les risques de dĂ©pression, d’anxiĂ©tĂ©, de troubles liĂ©s Ă la consommation de substances et de comportements suicidaires. Les Ă©tudes rĂ©vèlent Ă©galement que la religiositĂ© permettrait aux personnes souffrant d’une maladie mentale de se rĂ©tablir plus rapidement. Ă€ titre d’exemple, une Ă©tude phare a montrĂ© que les personnes qui prĂ©sentent un haut niveau de religiositĂ© ont plus de chance de se remettre d’un trouble mental grave, tel que la schizophrĂ©nie. La prière, la lecture religieuse et la frĂ©quentation rĂ©gulière d’un lieu de culte ont toutes Ă©tĂ© reliĂ©es Ă une meilleure santĂ© mentale. En effet, ces activitĂ©s, en plus de confĂ©rer un sens Ă la vie, insufflent aux pratiquants un sentiment d’appartenance Ă la communautĂ©. C’est pourquoi les personnes religieuses devraient envisager de renouer avec leur foi durant le temps des FĂŞtes. »Ěý
¸é´Ç˛ú±đ°ůłŮ Włóľ±łŮ±ô±đ˛â est professeur agrĂ©gĂ© au DĂ©partement de psychiatrie et chercheur principal du Groupe d’intĂ©rĂŞt et de recherche pour la psychiatrie sociale (SPRING) du Centre de recherche Douglas. Il mène des travaux sur divers aspects de la psychiatrie sociale, tels que le lien entre la religion, la spiritualitĂ© et la santĂ© mentale, le rĂ©tablissement psychosocial des troubles mentaux et la santĂ© mentale chez les hommes.ĚýĚý
robert.whitley [at] mcgill.ca (anglais, français)Ěý
RĂ©solutions et objectifs du Nouvel AnĚý
Richard Koestner, professeur titulaire, DĂ©partement de psychologieĚý
« Cette annĂ©e a Ă©tĂ© particulièrement difficile pour un bon nombre de personnes, en partie Ă cause de la hausse des prix et des taux d’intĂ©rĂŞt. Il est donc normal que le contexte Ă©conomique et les grèves en cours soient source d’anxiĂ©tĂ©. Étant donnĂ© l’incertitude (et la fatigue pandĂ©mique qui subsiste), certains risquent de renoncer Ă Ă©tablir des objectifs pour la nouvelle annĂ©e. MĂŞme si cela demeure difficile vu le contexte actuel, cet exercice demeure important; c’est une manière d’insuffler du sens et de l’espoir dans nos vies. Je vous invite Ă envisager deux sortes d’objectifs – ceux qui portent sur la structure de notre quotidien (p. ex., revoir la sĂ©paration entre le travail et les loisirs) et ceux qui mettent l’accent sur nos besoins humains les plus fondamentaux. »Ěý
Richard Koestner est professeur titulaire de psychologie au DĂ©partement de psychologie. Il mène des travaux sur la motivation humaine depuis plus de 30 ans, a publiĂ© au-delĂ de 200 articles scientifiques. Ses plus rĂ©centes recherches portent sur les mĂ©thodes visant Ă dĂ©finir et Ă atteindre ses objectifs personnels.Ěý
richard.koestner [at] mcgill.ca (anglais)Ěý
Rester en sĂ©curitĂ© et en bonne santĂ©Ěý
µţ°ůľ±˛ą˛Ô W˛ą°ů»ĺ, professeur titulaire, DĂ©partement de mĂ©decine, Division des maladies infectieusesĚý
« Le temps des FĂŞtes est une excellence occasion de passer du temps avec ceux qui nous sont chers : on se rĂ©unit en famille ou entre amis ou on voyage. Cela implique beaucoup de contacts qui peuvent faciliter la transmission de maladies infectieuses, en particulier celles qui sont transmises par voie aĂ©rienne ou celles qui sont d’origine alimentaire. Personne ne souhaite ĂŞtre malade pendant cette pĂ©riode ou – encore pire – transmettre un virus. Pour rĂ©duire les risques, on peut notamment renouveler ses vaccins contre la COVID-19 et la grippe, et prendre les prĂ©cautions nĂ©cessaires pour Ă©viter la transmission des virus (respecter la distanciation sociale, bien se laver les mains et porter le masque quand il le faut, plus particulièrement si on est malade). »Ěý
µţ°ůľ±˛ą˛Ô W˛ą°ů»ĺ est professeur titulaire au DĂ©partement de mĂ©decine et scientifique principal Ă l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé Â鶹Çř (IR-CUSM). Ses travaux portent sur les maladies infectieuses, la mĂ©decine tropicale et les vaccins.Ěý
brian.ward [at] mcgill.ca (anglais, français, espagnol)Ěý
Matthew Oughton, professeur adjoint, DĂ©partement de mĂ©decine, Division des maladies infectieusesĚý
« Partout dans le monde, la prĂ©sence du SRAS-CoV-2 continue de se faire sentir. Cela dit, la sociĂ©tĂ© s’emploie Ă s’adapter aux rĂ©percussions qui en dĂ©coulent, ou, dans certains cas, Ă en faire fi. Le diagnostic, le traitement et la prĂ©vention des symptĂ´mes aigus et chroniques de la COVID-19 continueront d’être des objectifs importants de la recherche tant que la maladie continuera de provoquer des effets durables sur la santĂ© des personnes et de leurs proches et Ă l’échelle de leur pays. »Ěý
Matthew Oughton est professeur adjoint au DĂ©partement de mĂ©decine et spĂ©cialiste des maladies infectieuses et de la microbiologie mĂ©dicale. Il travaille Ă l’HĂ´pital gĂ©nĂ©ral juif, oĂą il supervise les laboratoires de bactĂ©riologie et de microbiologie molĂ©culaire.ĚýĚý
matthew.oughton [at] mcgill.ca (anglais)Ěý
SantĂ© mentaleĚý
Nate Fuks, professeur adjoint, DĂ©partement de psychologieĚý
« Les fĂŞtes peuvent ĂŞtre une pĂ©riode d'Ă©motions et d'attentes accrues, amplifiant souvent les sentiments de solitude, d'anxiĂ©tĂ© et de stress pour de nombreuses personnes, mettant Ă l'Ă©preuve leur santĂ© mentale. »Ěý
Nate Fuks est professeur adjoint au DĂ©partement de psychologie et directeur du Centre de psychologie clinique Virginia I. Douglas. Ses recherches rĂ©centes portent sur les identitĂ©s croisĂ©es et la santĂ© mentale des personnes LGBTQ+, des immigrants et des rĂ©fugiĂ©s.Ěý
nate.fuks [at] mcgill.ca (anglais)Ěý
Voyager durant les FĂŞtesĚý
´ł´Çłó˛Ô G°ů˛ą»ĺ±đ°ě, chargĂ© d’enseignement, École d’éducation permanenteĚý
« Au Canada, les voyages en avion durant les FĂŞtes devraient ĂŞtre moins chaotiques cette annĂ©e qu’au cours des deux dernières annĂ©es. Non seulement les transporteurs aĂ©riens et les aĂ©roports ont ajustĂ© leurs pratiques en fonction de leurs ressources, mais ils se sont Ă©galement procurĂ© de nouveaux appareils. Les compagnies Flair Airlines, Lynx Air et Porter Airlines ont ajoutĂ© de nouveaux appareils Ă leur flotte aĂ©rienne et elles tentent de pourvoir ces nouveaux sièges avec des billets hors saison Ă bas prix. Attendez-vous Ă des vols pleins et retardĂ©s. En tout temps, patience et prĂ©paration sont des Ă©lĂ©ments clĂ©s d’une expĂ©rience de vol agrĂ©able, et la pĂ©riode des FĂŞtes ne fait pas exception Ă la règle. »Ěý
John Gradek est chargĂ© d’enseignement Ă l’École d’éducation permanente, oĂą il est Ă©galement coordonnateur des programmes sur les rĂ©seaux d’approvisionnement et du programme de gestion intĂ©grĂ©e de l’aviation. Il a occupĂ© des postes de direction Ă Air Canada dans les domaines de la gestion des opĂ©rations, du marketing et de la planification, et a travaillĂ© Ă l’élaboration et Ă la prestation de programmes de gestion de compagnies aĂ©riennes commerciales pour l’Institut international de formation en gestion aĂ©ronautique civile. Il Ă©tait jusqu’à tout rĂ©cemment arbitre au Tribunal d’appel des transports du Canada.Ěý
john.gradek [at] mcgill.ca (anglais, français)Ěý